DIEU MERCI VAN T&L Z

Diva van het Cauterhof Z (Martin Fuchs), Okinawa van de Meerhoeve (Benjamin Pieters), Kos (Jean Luc Mourier) et Ona van 't Veldeken (Elisa Strubbe). Il ne s'agit là que d'une petite sélection des produits de Dieu Merci van T&L Z qui ont tous progressé jusqu’en Grands Prix 4 et 5*. Des performances fabuleuses quand on considère qu'elles proviennent seulement de ses deux premières générations (2014 - 2015) de ce fils de Toulon. 

Sa propre carrière dans le sport n'est pas moins respectable. Sous la selle de Frédéric Vernaet, il a remporté le Grand Prix de Beervelde en 2019, après quoi il a poursuivi sa carrière avec Éric Lamaze qui l'a mené à une troisième place dans le Global Tour de Doha. Lorsque Beth Underhill a pris les rênes de Dieu Merci van T&L Z, il a continué à scorer avec des victoires comme dans le Grand Prix de La Baule. 

Frère de l'étalon classé à 1,45 m Quincerot van T&L et du performer à 1,45 m Numeriek van T&L, ses apparentés se montrent également performants au niveau international, ce qui un bon indice pour les éleveurs.

Ainsi, Dieu Merci van T&L Z a déjà prouvé qu'il transmettait une technique, un mental et des moyens hors norme. Sa production est, sans exception, facile à monter et très appréciée par tous les cavaliers.